LES ÉDITIONS DU 156

En librairie

GÉRARD SCHOUN

CONTER ET COMPTER

raison d’être et mesure d’impact,
le sens au coeur de la gouvernance

Présentation

Gérard Schoun, à qui l’on doit déjà des réflexions sortant des sentiers battus, comme « Capital Humain versus Humain Capital » ou « Diriger Après Vivre
Avec », s’interroge ici sur la force que confie à l’entreprise une raison d’être, sur la difficulté à mesurer une performance autre que financière, et sur les mutations d’une gouvernance soucieuse du bien commun.  Dans sa préface, Patricia Savin salue un « ouvrage puissant, inspirant et prospectif ».

Préface

de Patricia Savin
Avocate associée du cabinet DS Avocats
Présidente de l’association Orée

 

Quel plaisir de lire cette prise de hauteur et cette synthèse de l’ensemble des enjeux extra-financiers d’aujourd’hui, enjeux techniques, enjeux juridiques mais aussi enjeux philosophiques et politiques pour que l’Europe ne réitère pas dans l’extra-financier ce qui a été subi involontairement (ou volontairement) dans le financier.
Je suis fière, en tant que Présidente d’Orée, association dans laquelle Gérard Schoun co-préside le groupe de travail sur la RSE depuis de nombreuses années, d’un tel ouvrage puissant, inspirant et prospectif.

Je ne suis pas surprise, ayant eu le bonheur de le côtoyer depuis de nombreuses années, notamment dans le cadre d’Orée, de la pro- fondeur de sa vision et de l’ambition de son propos.

L’ouvrage s’adresse à tous les acteurs, prin- cipalement les chefs d’entreprises, soucieux de relever les défis du reporting extra-financier, en portant notamment la vision plus que nécessaire d’une comptabilité intégrée que notre association promeut avec d’autres dans le débat public depuis de nombreuses années. Gérard Schoun analyse les enjeux de la transposition de la Directive européenne dite « Corporate Sustainability Reporting Directive » (CSRD) et questionne la posture des prestataires de services d’assurance indépendants (PSAI), qui seront mandatés pour certifier les informations en matière de durabilité.

Il justifie la revendication européenne de gar- der une forme d’indépendance sur la question majeure de la double matérialité. Il nous donne à voir la place centrale de l’activité d’assurance des informations publiées en matière de durabilité dans une nouvelle économie où les données financières et extra-financières devront cohabiter de manière lisible et cohérente pour permettre d’identifier les impacts environnementaux, sociaux et socié-taux des entreprises du xxie siècle.

Le regard philosophique de Gérard Schoun est d’une grande profondeur et permettra à chacune et chacun d’entre nous de mieux percevoir ce qui se joue sous nos yeux afin de pou- voir interagir avec efficacité et pertinence.

Parachute

Gérard-Noël Hesse

Présentation

Jusqu’au dernier moment, Olivier hésita. Quand on a fait partie de la garde rapprochée d’Emmanuel Macron pour préparer le « casse du siècle » et que moins de deux ans plus tard on se retrouve élu député et porte-parole de La République En Marche, on n’accepte pas sans arrières pensées une invitation de Marion Maréchal.

Est-il possible de débattre avec un ennemi juré ? Peut-on le convaincre d’une vérité ou se laisser convaincre, sans l’accuser et s’enfermer dans l’idée que l’on se fait de lui ? La peur de diverger ou de trahir son camp abolit-elle toute possibilité de dialogue critique ? Entre les deux principaux protagonistes, bien conscients du risque qu’ils prennent, les échanges sont à fleurets mouchetés. Dans ce jeu de la séduction et du pouvoir, chacun a évidemment un agenda caché. Qui prendra le dessus ?

Olivier découvre une jeune femme étonnamment lucide, calculatrice, dotée d’une pensée complexe et d’une force d’attraction hors du commun. Un double d’Emmanuel. Il se promet de livrer à son mentor en politique des informations de première main sur sa future adversaire, la plus dangereuse, la plus haïssable. Mais, imperceptiblement, un trouble s’installe. Quel rôle joue-t-il, infiltré ou complice ? Qui manipule qui ? La haine est-elle la meilleure approche ?

Un ping-pong intellectuel qui dévoile des interrogations, des convictions, des choix constituant les matrices possibles d’un nouveau roman national que personne n’a encore réussi à écrire. On comprend pourquoi l’art très français de la controverse constitue l’âme d’une nation littéraire et politique, politique parce que littéraire. On se dit que dans ce nouveau roman en préparation de Gérard-Noël Hesse, tout relève de la fiction mais étrangement rien ne semble faux. Ou serait-ce le contraire ?

Gertrude ou les fortunes de la philosophie

Gérard-Noël Hesse

Présentation

Pour Gertrude, c’est le baptême du feu. Une classe de terminale. Des adolescents à peine moins âgés qu’elle. Leur enseigner la philosophie, mission impossible ? Elle tente le pari.

L’auteur nous propose un curieux huis-clos. Spontanée et dégagée de toute prétention à l’objectivité, la cruauté interrogative de Gertrude pousse les élèves à découvrir leurs convictions, leurs impasses, leurs failles, qui structurent, comme des leitmotives, leur relation au monde. Chacun tente d’imaginer quel pourrait être son rôle dans une recomposition à venir, gardien d’un temple, acteur d’un sursaut, promoteur d’une transformation. Gertrude elle-même n’en sort pas complètement indemne.

Ode au dialogue philosophique, ce livre n’offre à prime abord aucun palliatif à la froide réalité d’un monde où Dieu, le vrai, le bien, la vie, la mort, sont devenus des abstractions. Le lecteur trop pressé pourra trouver vaine et insensée une démarche qui donne l’impression d’avancer en tournant sur elle-même. Il faut accepter de se laisser entrainer dans l’orbe de cette pensée spiralée pour déceler en arrière-fonds l’écho d’une musique, l’esquisse d’une danse, l’espoir d’une guérison. Du chaos apparent des idées émerge alors la promesse d’un nouvel ordre, d’une nouvelle harmonie.

Le second roman de Gérard-Noël Hesse, servi par une plume toujours aussi incisive et parfois teintée humour, ne dissout pas les questions dans le simulacre de réponses toutes faites et confronte le lecteur à ses propres interrogations. Derrière chaque réponse se cache une profondeur qui, dévoilée, masque un fond encore plus profond.

Réactions de lecteurs et lectrices

Françoise A. (professeure de Lettres) : Comment ouvrir un espace de débats plausible sur les sujets qui traversent notre société sans entrer dans la spirale des polémiques ? Vous en avez rêvé ? Gertrude l’a fait (…) les personnages incarnent des idées bien tranchées, dont les éclats de voix forment l’unité du propos : révéler les failles d’un monde en pleine mutation (…) Le tout agrémenté de pointes littéraires et philosophiques savoureuses. À déguster sans modération.

Laure R. (Lolo Leblog) : « Gertrude (…) va réussir à nous captiver autant que ses élèves (…) une sorte de dialogue philosophique à bâtons rompus passionnant sur la vie, la mort, Dieu, le bien et le mal, le monde où nous vivons (…) une manière d’incorporer à notre vie le poids du passé, les espoirs du futur et la réalité du présent parfois si compliquée à vivre (…) l’auteur (…) nous lance un magnifique hymne à la vie. »

Véronique B. (fondatrice de l’agence vera-verba) : « Qualité du style, originalité de la mise en scène, diversité des thématiques, profondeur de la réflexion (…) non seulement un livre attachant mais un véritable miroir des problématiques de la société actuelle. »

Diriger après Vivre avec… la loi Pacte, la révolution numérique, le réchauffement climatique, l’effondrement de la biodiversité, le coronavirus,

Préfacé par par Geoffroy Roux de Bézieux, président du MEDEF

Gérard Schoun

Le confinement a plongé la France dans un état de sidération. Beaucoup s’interrogent sur le monde d’après. Mais l’après n’était-il pas en germe avant ? Dans ce monde incertain où les « cygnes noirs » prolifèrent, quels sont les facteurs de résilience et d’agilité ? Quel type de leadership le dirigeant doit-il privilégier ?

En fin observateur, puisant également dans sa riche expérience personnelle, Gérard Schoun propose ici un éclairage nouveau où l’humilité n’exclut pas la hardiesse et où des analyses techniques font bon ménage avec des réflexions philosophiques. Les emprunts fréquents à la littérature et au cinéma pimentent encore cette réflexion originale sur le rôle et les responsabilités du dirigeant.

Un ouvrage qui, selon Geoffroy Roux de Bézieux, « occupe indubitablement une place à part » dans l’abondante production sur le monde d’après.

 

Réactions de lecteurs et lectrices

Yvon Grosso (président du MEDEF-SUD) : « Comment générer durablement une performance créatrice de richesse pour tous ? Dans cette « bible », celui que j’appelle le « pape de la RSE » se garde de délivrer au dirigeant de nouvelles recettes magiques et l’invite, au contraire, à revenir aux fondamentaux d’un management éclairé. Fort utile en ces temps troublés où les repères vacillent. »

Sylvain Guyoton, (Senior Vice President Research d’EcoVadis) : « A l’aune des dernières crises et dans une perspective historique, tout en y associant son expérience personnelle, Gérard Schoun revisite le rôle et les responsabilités du dirigeant d’entreprise au XXIème siècle. Un ouvrage pour tous ceux qui s’interrogent sur les principes qui doivent prévaloir dans le développement d’une entreprise en accord avec la société dans laquelle elle opère. »

Charles-Henri Montaut (PDG d’UTB, Président de la Fédération nationale des Scop du BTP) : « Je me suis délecté à la lecture de ce livre. En fin observateur, Gérard Schoun essaye de dégager des tendances de fond sans tomber ni dans la béatitude ni dans le scepticisme. »

Ingrid Vaileanu (cofondatrice de Xvaluator ) : «Une véritable catharsis (…) Ce livre a le courage d’envisager le potentiel des innovations (…) et la sagesse d’intégrer l’incertitude. On découvre au fil des pages le management du XXIème. »

Toutes les victimes sont consentantes

Gérard-Noël Hesse

Un premier ouvrage fin et intelligent, à découvrir d’urgence !
avec votre consentement !

Notre monde valorise le commerce des marchandises, la libération des corps, l’extension de la sphère financière, le développement des produits financiers, la circulation des opinions. Ce paradis du libre-échange masque une arrière-cour moins reluisante. Son angélisme est un paravent qui cache la face grimaçante d’un démon. Les perspectives s’amenuisent, les discours s’entrechoquent, les valeurs s’inversent.

Ce monde a enfanté d’une société fragmentée en autant de solitudes qui favorisent le repli sur soi ou l’agressivité. La défiance envers l’autre s’installe chez l’individu. Par une sorte de logique fractale, la communauté nationale elle-même devient un ensemble d’archipels qui se considèrent avec suspicion, voire agressivité. Chacun, dans le regard des autres et au gré des circonstances, peut devenir persécuteur ou victime.

Un constat qui constitue la toile de fond du recueil de nouvelles de Gérard-Noël Hesse : Toutes les victimes sont consentantes.

Sans juger, Hesse dresse le portrait d’âmes qui peinent à trouver leur bonheur dans une France en perte de repères. Une femme dans le monde de l’édition, une étudiante que la colère fait basculer, un trader en rupture de ban, un converti égaré sur des chemins trop tortueux pour lui… Sans compter un président de la République pathétique et cynique.

Intime et politique, ample et resserré, ce texte composite et néanmoins cohérent réussit le tour de force de présenter un dispositif littéraire très lisible tout en parvenant à le faire oublier. Un même courant traverse l’ouvrage, transformant ce collage contrasté en un bloc singulier.

Au lecteur de décider qui sont vraiment les victimes. Sont-elles consentantes ? Que signifie ce consentement ? Une invitation à mettre entre parenthèse nos jugements trop hâtifs.

Réactions de lecteurs et lectrices

Le magazine Service littéraire : « …des nouvelles incisives, signées par un ancien conseiller de grands dirigeants… C’est court et bien balancé. Hesse écrit au scalpel. »

Blog NLNM (Nos Livres et Nos Mots) : « Voilà un livre pour le moins troublant…tout d’abord le style de l’auteur…, il réussit à nous faire comprendre, ressentir les états d’âmes des personnages… nouvelles indépendantes l’une de l’autre… très rapidement on voit un lien…On reste surpris au premier chapitre et le deuxième vous embarque…on va vouloir petit à petit connaître tous les personnages…J’avoue…j’ai aimé…son style…l’histoire…un livre surprenant! »

Blog Ysaetsesavis (Elise) : « Le titre, provocant, m’a interpellé. Il donne à réfléchir. …un réel talent d’écriture, avec un style recherché… une lecture qui questionne et qui, je pense, ne peut pas laisser indifférent. »

Lolo Leblog : « Des portraits acérés de personnages aussi différents qu’intéressants… Ce recueil de nouvelles se lit très vite, l’écriture est vive et va au cœur des actes directement… voici un nouvel auteur à découvrir qui se glisse aisément dans la peau de ses personnages !! »

Blog The Reading Passion (Sara) : « Dès les premières pages, nous entrons dans le vif du sujet. Gérard-Noël HESSE parvient à détailler chaque sentiment éprouvé par les protagonistes principaux… Une conclusion ouverte qui laisse part à l’imagination du lecteur/lectrice, l’encourageant ainsi à élaborer sa propre position. »

Blog Marine Mouzelard : « Un style simple, dans le bon sens, et recherché, les mots filent comme les pages entre nos doigts…Vous pourrez en juger par vous-même en lisant un extrait de la première nouvelle… A vos risques et périls d’être conquis. Un livre qui donne matière à réfléchir.

Blog Onyx : « Un roman avec une ambiance assez noire mais je me suis laissé tenter même si ce n’est pas mon genre de prédilection…Disons que ce livre est trop près de la réalité pour moi…Bref, un roman que je conseillerais aux amateurs du genre. »